Je viens juste de penser à alimenter mon blog, ça faisait un moment que je n'avançais plus et il fallait bien que je m'y remette un jour mais autant vous dire que la motivation était ailleurs, c'est quand même chronophage un blog et puis ça ne sert plus à grand chose à l'heure d'aujourd'hui parce que les gens de manière générale sont passés à autre chose
Je ne sais plus trop quel était l'objet de l'article précédent, je vais essayer de rattacher les wagons autant que faire se peu, c'est vrai que j'avais fait quelques articles mais ça c'était avant
Ce mois de mars aura été chargé dans tous les sens du terme, voyez ce ciel, ça contraste fortement avec celle du dessus plus claire, plus ensoleillée mais aussi plus chaude
Nous avons beaucoup crapahutés ces dernières semaines en faisant de longues randonnées bienfaisantes et totalement dépaysantes
Mon compagnon était un peu agacé par le poste qu'il occupait (enfin, qu'on lui avait promis) car il ne correspondait pas du tout à ce qu'on lui avait vendu, décision a été prise de partir ailleurs voir si l'herbe était plus verte (parait que c'est pas toujours le cas), candidature envoyée aussitôt validée
Nous avons rejoint notre nouveau point de chute, St Martin dans les Antilles françaises, au début du mois d'avril, on l'appelle là bas le petit Saint-Tropez des Antilles
Parallèlement à tout ça, je me suis soudain souvenue que nous avions fait une demande d'emplacement pour un ponton au moment de l'achat de notre bateau et ça faisait bien un an que je n'avais plus consulté le site pour savoir où nous en étions, je crois qu'à l'époque nous étions à la 103ème place et puis lorsque je me suis connectée nous étions descendus à la troisième place
Le port d'Arzal a agrandi la capacité de ses pontons ces derniers mois et nous n'avions pas imaginé un seul moment avoir une place jusqu'à ce que je reçoive un mail me disant qu'il fallait que je réponde sous 15 jours si l'offre proposée nous intéressait toujours autant dire que j'ai sauté sur l'occasion, une place au ponton c'était une sacré économie et puis surtout nous aurions la possibilité d'accoster dans les ports avec lesquels la capitainerie avait des attaches le temps de nous entrainer à la navigation, c'était pour nous un véritable bon en avant et même si nous n'avons pas prévu de rester en France pour les années à venir, avoir une place définitive nous met à l'abri en cas d'imprévu